Si vous cherchez à acheter un voilier, vous devez en choisir un qui correspond à votre style de navigation. Les marins ne seront plus les mêmes après une traversée côtière et un rassemblement. Les critères de choix incluent moins le type.
Votre style de navigation et votre méthode de souris préférée jouent tous deux un rôle pour déterminer si un quillard ou un dérivé est le meilleur choix. Explorez avec moi les nombreux dérivés et leurs avantages et inconvénients.
Quels sont les avantages d’un dériveur, exactement ?
Pour commencer, examinons à la fois les avantages et les inconvénients de naviguer dans un navire dérivé.
Flop sans but et à plat avec facilité
La capacité d’un produit dérivé à « planter » est son principal avantage. Quand deux chemins se croisent, tout bascule. Vous pouvez éviter les grandes marinas et jeter l’ancre dans les profondeurs des petites falaises les plus proches des plages et des falaises. Lorsque l’intégrale tombe à plat, vous pouvez laisser passer la marée basse sans vous soucier de vous endormir.
Il est facile à entretenir
Enfin, la facilité de maintien d’un dérivé est un avantage majeur. En fait, au début, vous aurez la possibilité de choisir une tonte qui s’effondre à marée basse. Cela signifie que le bateau sera sec pendant environ la moitié de l’année.
Du coup, les coquillages gêneront moins votre coque. Vous pourrez aussi vous entretenir le long d’un quai ou d’une dénivellation avec moins de difficulté (mais attention à la réglementation et à la pollution). Vous pourrez entrer dans la trappe inférieure du navire. L’utilisation d’un dériveur lesté simplifie ce processus, permettant un accès plus rapide et plus facile à la zone sous la coque.
En raison de la facilité de se déplacer
L’attrait d’un dérivé intégral pour un petit bateau est qu’il peut être transporté avec une relative facilité. En effet, l’annexe complètement rétractée facilite la mise à l’eau et la récupération du bateau. Faites simplement glisser le bateau sur la remorque et vous êtes prêt à partir. Par conséquent, vous n’avez pas besoin de réticence.
Pouvez-vous expliquer les inconvénients du dériveur ?
Bien qu’il y ait de nombreux avantages à utiliser une dérivée intégrale, il y a aussi quelques inconvénients dont il faut être conscient. Il y en a deux qui apparaissent le plus souvent. Tout d’abord, le bateau doit avoir un mécanisme supplémentaire installé si une déviation ou un piquant pertinent est rencontré.
Cela nécessite une surveillance et une maintenance régulières des systèmes descendant et ascendant du déviateur. On retrouve l’éblouissement inexorable, la possibilité d’un sommet, et le point d’appui sur lequel bascule le détour.
Au-delà du mécanisme, il est important de noter que les performances de navigation d’un dérivé sont souvent moins bonnes que celles d’un quillard. Le dérivé entraînera moins de raids de surface et moins de résurgence rapprochée. Cela est particulièrement vrai pour les dérivées intégrales et lestées. C’est moins un souci avec les voiliers à palmes, comme nous le verrons plus bas.
Quels sont les nombreux dériveurs qui existent ?
Les dérivés, ou voiliers mobiles, se présentent sous une variété de formes et de tailles. Ensemble, découvrons ce que les différentes entreprises de construction ont à offrir.
Le dériveur intégral
La dérivée intégrale est le meilleur type de dériveur. L’inclinaison, souvent lestée, remonte jusqu’à l’intérieur du bateau. Abaissé, il est souvent remonté à la hauteur d’une table carrée.
Lorsqu’un bateau tombe en panne, ce système a l’avantage de le laisser reposer à plat sur le sol. Si vous souhaitez conserver votre carapace et ajouter un peu plus de poids à vos palmes, une galette de fonte ou une autre pâte fera l’affaire. Un autre avantage du dérivateur intégral est son aptitude à être utilisé avec de petits voiliers. En effet, on passe plus facilement en grue lorsque le voilier est au gabarit routier et on peut le faire glisser plus facilement sur une remorque.
Le dériveur lesté
Comme alternative au dériveur intégral plus courant, le dériveur lesté était souvent installé à bord des voiliers Jeanneau dans les années 1980. C’est l’approche utilisée avec les modèles Fantasia, Tonic 23 et Sun Dream 28, entre autres. L’objectif ici est de trouver un équilibre entre la peur mobile et le raid en ligne.
Le plan est d’installer un saumon à bord du bateau à cet effet. La forme de ce saumon peut vous rappeler une demi-plume. Cette trajectoire asymétrique va monter chez ce saumon. Cette alternative a l’avantage de suggérer un bateau plus sûr.
Le problème, c’est que lorsqu’un bateau chavire, il ne tient pas debout. Ce désagrément a été résolu grâce à l’ajout de deux safrans dans les années 2000. Le bateau peut alors se reposer sur son saumon et les deux safrans, en gardant une trajectoire rectiligne même à marée basse.
Le quille relevable
Une flèche en plume de papier n’est pas un vrai dérivé. Pourtant, l’objectif final reste le même : Offrir un lecteur mobile pour faciliter la navigation et le redémarrage. Le chantier Bénéteau est le plus prolifique adopteur de cette méthodologie.
À partir des années 1980, il propose la série First sous une forme quillable. Et il est important de noter que les First 25 et First 22 ont mieux performé dans la version quille pertinente que dans la version quillard. Pour être honnête, cela a beaucoup de sens. Pour un centre de gravité plus bas, le quille adjustable variant a permis une crainte plus basse. Il était plus facile de soulever le bateau d’une distance plus proche.